Historiquement, la Liturgie se célèbre debout.
La position assise est une position passive, d'écoute.
La position debout est une position de reconnaissance du mystère, c'est une position marquant la résurrection. C'est aussi une position de respect. Enfants, lorsque l'institutrice ou une personne entrait dans la classe, nous nous levions par respect.
Ainsi, on s'assoit pour les psaumes car c'est long et qu'on écoute l'autre choeur nous répondre. Sauf au doxologies où par respect nous nous levons d'une part et nous inclinons aux citations du Père, du Fils et du Saint-Epsrit. D'ailleurs certains monastères chantent plus lentement cette première phrase de la doxologie (en latin).
Remarquez que dans les monastères, on ne s'assoit pas pour les petites heures : à la rigueur les moines utilisent les miséricordes en relevant l'assise de leurs sièges. En effet, il y a moins de psaumes aux petites heures dans l'office monastique qu'aux laudes et vêpres.
Pour la lecture, il s'agit d'une attitude d'attention. Pour mieux écouter, on se met assis.
Mais on se lève ensuite pour le répons.
Pour le cantique Evangélique, tout est dans le nom. Celui-ci marque plus particulièrement le Christ du fait qu'il soit tiré de l'Evangile. Donc de la même manière qu'à la messe on se lève pour l'Evangile, on se lève à l'Office pour le Cantique Evangélique.
Et on s'incline pour la bénédiction, comme à la messe.